Alors, alors, comment ça s'est passé ?????????,
a demandé Olivier Faes, le compositeur, à Jocelyne, qui organisait le spectacle de Sarreguemines, en juin 06.
La Création avait déjà eu lieu à Tours, devant un public nombreux (plus de mille personnes !), et avait rencontré un énorme succès.
Voici la réponse de Jocelyne... :
.............................................!!!!!!
> Super...!
(...) la surprise a été vraiment très agréable : les avis ont tous été enthousiastes, sans retenue, et unanimes.
Une critique plus nuancée est revenue toutefois : "... on en aurait aimé
encore un peu... dommage que c'était court..." Nous l'attendions cette
remarque; 65mn sans pose + 10mn de "verbiage" autour des remerciements... et
du tirage au sort. Car il y a eu un tirage au sort....Dans notre recherche de mise en scène (fort appréciée elle aussi, soyons
modestes !) nous avons intégré une entité supplémentaire : les
accessoiristes. Idée géniale s'il en fut, puisque leurs interventions
scéniques soutenaient en permanence l'aspect allégorique du conte. Ainsi,
durant "La vie est belle", Pax lance avec grâce des pétales de roses sur la
scène, sur le choeur, sur le public du 1er rang et 2 accessoiristes montent
dans le public pour distribuer en même temps et au hasard 16 cartons
numérotés portant la mention « A conserver précieusement jusqu'à la fin du
spectacle ». Suite du conte.Fin du conte. Je prends donc la parole pour le mot de la fin (...) là, je
raconte un peu la genèse de l' « aventure » Guerra & Pax j'adresse les
remerciements d'usage et j'appelle sur scène Coralie (Pax) et Adélaïde
(Guerra) pour que Pax tire « de sa main innocente » au sort un numéro (de
1 à 16) dans son petit panier de pétales. Elle s'exécute. N°7. J'invite le n°7 à nous rejoindre sur scène pour que Guerra puisse se séparer de son cactus rendu inoffensif par tant de bons
sentiments, en l'offrant au spectateur ayant le n°7. Là éclat de rires
alentour : le n°7 descendant dans les allées de la salle se trouve être la
maman de Coralie, notre Pax !! Ainsi le cactus devenu bon est retourné en
famille et la main dite innocente a été inspirée par son petit figuier !Voilà : évidemment nous avons pris un plaisir immense : la journée de
travail a été une succession de catastrophes : le choeur n'avait aucun son,
le texte était incertain dans des endroits où nous n'avions jamais aucun
problème, Ludovic avait des blancs, nos directions respectives
embrouillaient les musiciens, bref la cata ! Et comme souvent, le soir même
les pendules étaient à l'heure. Les musiciens eux aussi ont été conquis.
Bref, c'était super ! (...)Jocelyne L'affiche de la version lorraine ci-dessus
et ci-dessous, la direction du choeur, cette fois-ci, à Tours, par Olivier Faes.On peut admirer le dos du compositeur, Olivier Faes,
et sur le côté, les musiciens qui accompagnaient le piano (sur la droite) et le choeur, à trois voix.
Parfois le chant était accompagné par du théâtre, fort efficace pour faire naître le sourire... Dans le journal La nouvelle république du 26 mai 06, Philippe Haller donne la parole à Olivier Faes : "Travailler avec un poète actuel ? "Pour un compositeur, pouvoir collaborer avec un poète vivant, construire ensemble des projets est un luxe et un bonheur rare."" Evidemment, ce plaisir est partagé, totalement ! Pour voir d'autres images du spectacle de Tours (2006), cliquez ici. Et pour découvrir le dépliant annonçant le festival transversal de Chorea 2006, cliquez alors plutôt là !
D'après le compositeur lui-même :
Un commentaire déposé le 24 mai 2008 sur le site du Proscenium, spécialisé dans le théâtre ? Par Mathis, qui a hélas oublié de laisser son adresse, visiblement, je n'ai donc pas pu lui répondre directement... :
" Pièce agréable à représenter à beaucoup pour un spectacle de chorale... J'ai participé au projet de représentation du lycée Jean de Pange et aimerais trouver les accompagnements afin de pouvoir les rechanter (usage personnel uniquement, bien entendu)
Comment faire ?"
Le mieux, c'est de contacter le compositeur, Olivier Faes, qui a d'ailleurs un site très bien fait sur la toile...