Ce sont des cartes postales prêtes à être postées
avec un timbre normal,
puisqu'elles pèsent moins de 20 grammes.
Elles se présentent de manière charmante, avec leur couverture couleurs
et on se régale à les découvrir ou à les faire lire aux amis à qui on les a expédiées !
Les éditions D'un Noir Si Bleu ont eu une excellente idée.
Elles ont lancé le concept des "Livrets Cartes Postales" :
un timbre, et vous postez à vos amis, non pas des voeux d'une grande banalité, ordinaires,
mais une nouvelle entière, agrémentée d'une couverture couleurs fort sympathique.
Il existe quatre livrets cartes postales signés Anne Poiré.
Mais déjà deux titres sont désormais épuisés... (automne 2009)
(Non, finalement, un seul :
l'éditeur a choisi de retirer
"Transport épique", chouette !
(décembre 2009)
Les premiers tirages
sont déjà devenus objets de collection pour bibliophiles avertis.
Septembre 2008,
c'est la sortie de la deuxième série
des livrets cartes postales des éditions D'un Noir Si Bleu
dont
"Les Mots du clos Vougeot"
d'Anne Poiré.
TOUJOURS DISPONIBLE.
Heureuse de m’offrir ainsi à ses doigts, j’avais été bouleversée par ces vers si parents. Si différents.
Omar Khayyam me rattrapait. Me retrouvait.
Le boisé de ce vin poétique, non pas de chêne, de vanille, de cèdre ou de pin,
mais de voyelles et de consonnes suffit à m’euphoriser.
Au gré de ses rencontres amoureuses,
une jeune traductrice est mise en contact par ses amants avec le même poème d’Omar Khayyam,
mais à travers des traductions toujours différentes.
Simple hasard ou coïncidence troublante ?
Découvertes et conséquences bouleversantes en découlent…
Un texte sur la traduction, sur le vin, sur le plaisir des mots, et des rencontres...
La couverture - une miniature persane -
a été choisie par l'éditeur,
en lien avec les huit autres textes publiés lors de cette série.
Dans ce livret carte postal, entre plaisir du vin et plaisir du texte,
une jeune traductrice explique - avec sensualité - l'origine de sa vocation.
Tous les auteurs de cette série ? Nicole Yrle, François Bonneau, Bernard Jurth, Florence Rierger, Jean Pézennec, Corine Pourtau, Claude-Jean Poignant, Laurence Barrère, Anne Poiré, Renata Ada Ruata, Eric Fouassier...
La première série
des livrets cartes postales
est sortie en décembre 2007 :
Neuf titres ont paru, de Corine Pourtau, Claude-Jean Poignant, Laurence Barrère, Claude Poulain de la Fontaine...
et trois textes d'Anne Poiré :
- "Le nain de jardin" : inédit kitsch et ludique !
Hélas pour vous,
ce texte est épuisé.
Qui a décrété qu’il était kitsch
d’aimer les nains de jardin ?
ISBN 978-2-916499-10-9/ 12 pages / 3,50 €
Pour les amateurs de nains,
pour ceux qui les détestent,
pour ceux qui les volent,
pour ceux qui ont aimé Amélie Poulain,
pour ceux qui aiment Blanche Neige et les Sept Nains
sans parler du Père Noël aux fenêtres à Noël,
pour ceux qui veulent écrire à des propriétaires de nains de jardin,
pour ceux qui veulent s'en moquer,
pour ceux qui ont le sourire,
pour ceux qui veulent l'avoir...
- "Transport épique" : ceux qui ont lu La maison de l'écrivain connaissent déjà
la fameuse Deux Chevaux brinquebalante, sous ses sacs et valises !
Ce titre est également
épuisé.
C'est LE texte qui fait sourire des générations entières,
parties en vacances sur les routes de France avec enfants, poisson rouge et valises...
Presque tout le monde, quoi !
Treize mioches à la douzaine
et c’est parti sur la route des vacances !
ISBN 978-2-916499-14-7/ 12 pages / 3,50 €
Je le disais, hélas pour toi, Lecteur,
ce texte est épuisé.
Mais tu peux toujours le lire, en achetant le recueil complet :
La maison de l'écrivain et autres trésors d'enfance
"Transport épique" constitue la première nouvelle de ce recueil mettant en scène des petites filles
sensibles, vivant des expériences inscrites dans la sensualité : l'ouie, le goût, la vue...
Le texte en a été repris sous forme numérisée par l'éditeur :
http://www.dunnoirsibleu.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=126
Date de parution : 03/06/2013
ISSN : 978-2-36520-116-2
ePub
- Et enfin un magnifique livret carte postale,
l'émouvant "Livre d'or".
C'est un inédit :
Alzheimer, le souvenir et l'émotion
sont au rendez-vous de cette nouvelle nostalgique, sur la mémoire, les traces, et l'importance de l'écrit.
La naissance du goût pour l'écriture.
Illustration guallinesque, vous l'aurez reconnu !
Couverture de soie émeraude, feuillets blancs
et la main enfantine invente le monde…
ISBN 978-2-916499-13-0/ 12 pages / 3,50 €
Au Salon du Livre en mars 2009,
à Paris,
j'ai même pu en proposer une lecture,
sur le stand Espace théâtre et nouvelles.
à Paris,
j'ai même pu en proposer une lecture,
sur le stand Espace théâtre et nouvelles.
Et là c'était à Talange, à la fin du même mois :
Cliché Gérard Kester
À commander sur le site des éditions DNSB, http://www.dunnoirsibleu.com/
ou à faire commander par toutes les bonnes librairies.
Au fait, la couverture de "Livre d'or" est guallinesque en diable,
pour ceux qui veulent joindre les mots et l'image,
c'est CE livret qu'il faut choisir............................
Ceci dit, les trois autres ne sont pas mal non plus !!!
En toute modestie et subjectivité, bien sûr !
(De toutes façons, deux d'entre ces livrets sont épuisés... voilà qui réduit votre choix !)
Cliché Gérard Kester
Parfois, lors des lectures,
j'en donne à entendre quelques extraits
comme là, en 2009, à Talange.
Quant à l'éditeur,
qu'en dit-il sur son blog ? :
mercredi 28 novembre 2007
Des "singles" pour Noël...
La fin de l'année
approche et vous êtes sûrement à court de temps et
d'idées pour trouver des cadeaux sortant de l'ordinaire... Pas
de panique ! Votre éditeur préféré a vu ce
matin sortir des rotatives les premiers "Livrets Cartes Postales".
Qu'est-ce ? Des objets littéraires et postaux originaux. Dans une couverture illustrée, pouvant être scellée comme une enveloppe et portant un tracé de carte postale au verso, dans cette couverture donc est incluse une nouvelle choisie avec autant de soin que celles des recueils de la collection Traverses. C'est là le côté "single". Le prix ? Aussi modique que celui d'une carte postale élaborée : 3,50 €.
Je vous reparlerai en détail ici et sur le site de chacun des textes choisis, mais sachez d'ores et déjà que neuf titres sont prévus pour le 10 décembre... et pour votre plus grand plaisir, je l'espère.
Puis le
MERCREDI 6 AOÛT 2008
Deuxième série de Livrets Cartes Postales
La deuxième série de Livrets Cartes Postales sera au rendez-vous de Livres en Vignes à l'automne prochain. Cet ensemble de 9 nouvelles, à la fois cohérent dans son inspiration et très varié dans les modes d'expressions choisis par les auteurs, est issu de l'appel à texte de décembre dernier. En avant-première voici la présentation des 9 titres retenus :
Amertume et Douceur, de Nicole Yrle.
« Depuis le début de leur conversation, il était troublé : le visage de son interlocuteur lui semblait familier. Son regard surtout le frappait. Ses yeux gris, profonds et veloutés… »
Qu’est-ce donc qui attire Laurent, jeune œnologue fraîchement diplômé, chez ce mystérieux SDF, rencontré un petit matin sur les quais désertés de la Seine ?
La Cave de l'Enfer, de Bernard Jurth.
« Vos détracteurs déclarent avec ironie que votre vin sent la viande en décomposition parfumée au Chanel n°5. »
Peut-être… Mais c’est précisément ce qui fait la renommée des cuvées spéciales de Georges Bonidant, l’heureux propriétaire du château de Hauterive et qui intrigue Hervé, le tout frais directeur du prestigieux domaine.
La Deuxième vie de Dédé, de Jean Pézennec.
« C’était bien le Café des Amis tel qu’il le connaissait depuis des années et en même temps rien n’était comme d’habitude. L’angle de vue… oui, c’était d’abord une question d’angle de vue. »
Qu’est-il donc arrivé à Dédé, sympathique pilier de bar, pour que ses repères familiers, au Café des Amis, soient à ce point faussés ?
Les Mots du clos Vougeot, d'Anne Poiré.
« Heureuse de m’offrir ainsi à ses doigts, j’avais été bouleversée par ces vers si parents. Si différents. Omar Khayyam me rattrapait. Me retrouvait. Le boisé de ce vin poétique, non pas de chêne, de vanille, de cèdre ou de pin, mais de voyelles et de consonnes suffit à m’euphoriser. »
Au gré de ses rencontres amoureuses, une jeune traductrice est mise en contact par ses amants avec le même poème d’Omar Khayyam, mais à travers des traductions toujours différentes.
Simple hasard ou coïncidence troublante ? Découvertes et conséquences bouleversantes en découlent…
Un jardin à Nishapur, de Corine Pourtau.
« Peut-être s’était-elle trompée. Peut-être était-ce cette odeur de cannelle, bien plus lointaine, qui l’avait préparée à s’attacher aux vignes de Grand-père Râmin… »
Qui sait, en effet, le chemin que prennent les choses pour faire de nous ce que nous sommes ?
Qui sait ce qui a fait de Parvaneh, dans son jardin parfumé de Nishâpur, une amoureuse de la vigne, au cœur du XIIe siècle persan ?
Au détriment de sa réserve, de François Bonneau.
« Or donc, je l’attends, ce paternel […] nous nous apprêtons à acquérir ensemble quelques cartons d’un sang de cépage qu’on dit très prometteur. »
Mais sous la rondeur du vin, l’aigreur des non-dits. Sous le plaisir de la dégustation partagée, l’amertume d’un autre rendez-vous, toujours manqué…
Retour, de Renata Ada Ruata.
« Il vivait maintenant aux confins de la Terre. […] Lorsque les rayons du soleil filtraient à travers le tumulte des nuages de cobalt noir, il entrait en extase. […]
Le soir, sous sa lampe ou en fin de semaine, il peignait ces bouleversements. »
De ce lieu magique, il partira pourtant. Pour une destination autrefois familière, de l’autre côté de la mer ; une petite ville de province où son passé le rejoindra...
La Robe écarlate, d'Eric Fouassier.
« Ces trois beautés semblaient si complémentaires que leur réunion ne devait assurément rien au hasard. Trois pièces d’une mystérieuse entité que le terme de trio eût semblé trop commun pour la désigner. »
Le hasard, en effet, n’a rien à voir dans l’accord parfait de ces trois femmes, trop belles, trop indissolublement unies, pour être tout à fait inoffensives…
D'un rouge presque noir, de Florence Rieger.
« La bouteille et le poète ouvrent des portes étrangement semblables. Avant et après, à l’intérieur et à l’extérieur du tableau, ils créent des espaces imaginaires, à seule fin de combler les béances de l’ennui. »
Je naquis dans des collines verdoyantes sous les soins avisés de quelques hommes de bien. Je mûris dans le secret d’un caveau sans âge. Je fus adulée, profanée. Je suis maintenant entrés au musée, ou peu s’en faut…
Mais qui suis-je vraiment ?
Ces livrets seraont disponibles en septembre.
Qu'est-ce ? Des objets littéraires et postaux originaux. Dans une couverture illustrée, pouvant être scellée comme une enveloppe et portant un tracé de carte postale au verso, dans cette couverture donc est incluse une nouvelle choisie avec autant de soin que celles des recueils de la collection Traverses. C'est là le côté "single". Le prix ? Aussi modique que celui d'une carte postale élaborée : 3,50 €.
Je vous reparlerai en détail ici et sur le site de chacun des textes choisis, mais sachez d'ores et déjà que neuf titres sont prévus pour le 10 décembre... et pour votre plus grand plaisir, je l'espère.
Puis le
MERCREDI 6 AOÛT 2008
Deuxième série de Livrets Cartes Postales
La deuxième série de Livrets Cartes Postales sera au rendez-vous de Livres en Vignes à l'automne prochain. Cet ensemble de 9 nouvelles, à la fois cohérent dans son inspiration et très varié dans les modes d'expressions choisis par les auteurs, est issu de l'appel à texte de décembre dernier. En avant-première voici la présentation des 9 titres retenus :
Amertume et Douceur, de Nicole Yrle.
« Depuis le début de leur conversation, il était troublé : le visage de son interlocuteur lui semblait familier. Son regard surtout le frappait. Ses yeux gris, profonds et veloutés… »
Qu’est-ce donc qui attire Laurent, jeune œnologue fraîchement diplômé, chez ce mystérieux SDF, rencontré un petit matin sur les quais désertés de la Seine ?
La Cave de l'Enfer, de Bernard Jurth.
« Vos détracteurs déclarent avec ironie que votre vin sent la viande en décomposition parfumée au Chanel n°5. »
Peut-être… Mais c’est précisément ce qui fait la renommée des cuvées spéciales de Georges Bonidant, l’heureux propriétaire du château de Hauterive et qui intrigue Hervé, le tout frais directeur du prestigieux domaine.
La Deuxième vie de Dédé, de Jean Pézennec.
« C’était bien le Café des Amis tel qu’il le connaissait depuis des années et en même temps rien n’était comme d’habitude. L’angle de vue… oui, c’était d’abord une question d’angle de vue. »
Qu’est-il donc arrivé à Dédé, sympathique pilier de bar, pour que ses repères familiers, au Café des Amis, soient à ce point faussés ?
Les Mots du clos Vougeot, d'Anne Poiré.
« Heureuse de m’offrir ainsi à ses doigts, j’avais été bouleversée par ces vers si parents. Si différents. Omar Khayyam me rattrapait. Me retrouvait. Le boisé de ce vin poétique, non pas de chêne, de vanille, de cèdre ou de pin, mais de voyelles et de consonnes suffit à m’euphoriser. »
Au gré de ses rencontres amoureuses, une jeune traductrice est mise en contact par ses amants avec le même poème d’Omar Khayyam, mais à travers des traductions toujours différentes.
Simple hasard ou coïncidence troublante ? Découvertes et conséquences bouleversantes en découlent…
Un jardin à Nishapur, de Corine Pourtau.
« Peut-être s’était-elle trompée. Peut-être était-ce cette odeur de cannelle, bien plus lointaine, qui l’avait préparée à s’attacher aux vignes de Grand-père Râmin… »
Qui sait, en effet, le chemin que prennent les choses pour faire de nous ce que nous sommes ?
Qui sait ce qui a fait de Parvaneh, dans son jardin parfumé de Nishâpur, une amoureuse de la vigne, au cœur du XIIe siècle persan ?
Au détriment de sa réserve, de François Bonneau.
« Or donc, je l’attends, ce paternel […] nous nous apprêtons à acquérir ensemble quelques cartons d’un sang de cépage qu’on dit très prometteur. »
Mais sous la rondeur du vin, l’aigreur des non-dits. Sous le plaisir de la dégustation partagée, l’amertume d’un autre rendez-vous, toujours manqué…
Retour, de Renata Ada Ruata.
« Il vivait maintenant aux confins de la Terre. […] Lorsque les rayons du soleil filtraient à travers le tumulte des nuages de cobalt noir, il entrait en extase. […]
Le soir, sous sa lampe ou en fin de semaine, il peignait ces bouleversements. »
De ce lieu magique, il partira pourtant. Pour une destination autrefois familière, de l’autre côté de la mer ; une petite ville de province où son passé le rejoindra...
La Robe écarlate, d'Eric Fouassier.
« Ces trois beautés semblaient si complémentaires que leur réunion ne devait assurément rien au hasard. Trois pièces d’une mystérieuse entité que le terme de trio eût semblé trop commun pour la désigner. »
Le hasard, en effet, n’a rien à voir dans l’accord parfait de ces trois femmes, trop belles, trop indissolublement unies, pour être tout à fait inoffensives…
D'un rouge presque noir, de Florence Rieger.
« La bouteille et le poète ouvrent des portes étrangement semblables. Avant et après, à l’intérieur et à l’extérieur du tableau, ils créent des espaces imaginaires, à seule fin de combler les béances de l’ennui. »
Je naquis dans des collines verdoyantes sous les soins avisés de quelques hommes de bien. Je mûris dans le secret d’un caveau sans âge. Je fus adulée, profanée. Je suis maintenant entrés au musée, ou peu s’en faut…
Mais qui suis-je vraiment ?
Ces livrets seraont disponibles en septembre.
Ces livrets cartes postales sont du même éditeur que
La Maison de l'écrivain
et autres trésors d'enfance
Sous jaquette couleur à compter de novembre 08 :
